Conclusions
La conception d'un waterblock qui refroidit ne pose pas de soucis majeurs. Il est plus difficile par contre de faire un waterblock qui marche mieux car beaucoup de paramètres rentrent en ligne de compte. Le Cascade a mis la barre très haut de part les techniques employées, le bloc commence à avoir une faible résistance thermique. La pâte thermique voit son pourcentage "d'inefficacité" grandir en terme global mais là on ne peut pas y faire grand chose sauf à attendre des interfaces bien meilleures que ce qui existe aujourd'hui. A mon sens, les waterblocks traditionnels sont dépassés, les blocs à microstructures tel que l'Atotech se révèle être une excellente technique de refroidissement également.
Un waterblock à impact de jet permet de minimiser toutes les résistances thermiques et de ce fait d'obtenir de très bonnes performances. Leur optimisation est néanmoins un peu plus délicate qu'un bloc normal. Soit on a la possibilité de faire fabriquer plusieurs prototypes et de tester toutes les combinaisons de manière contrôlée et valide, soit on se fie à son expérience en s'aidant d'outils numériques pour se donner une direction d'étude par exemple.